Le Digital Services Act (DSA) qui réglemente les activités des plateformes, et en particulier celles des GAFAM, vise notamment à concilier la liberté d’expression avec la suppression des contenus illégaux sur les moteurs de recherche et sites d’hébergement… ce que n’est pas ChatGPT.

De la même façon, la proposition de règlement sur l’intelligence artificielle, toujours en discussion, ne prend pas en compte ce type de système pouvant être utilisé par tout un chacun. «Mais il est encore possible de changer le tir pour intégrer ces outils» dans la réglementation, glisse Winston Maxwell. […]

À lire dans L’Usine Nouvelle

Image d’entête source pch.vector/freepik