« Le DSA impose aux plates-formes d’identifier les maux et d’inventer des remèdes, sous l’œil de la Commission européenne »

Le Digital Services Act (DSA), adopté le 19 octobre pour lutter contre la diffusion des contenus manipulateurs, est la réponse de l’UE à la haine en ligne et permet de trouver un équilibre entre préservation de la liberté d’expression et régulation efficace, analysent, dans une tribune au « Monde », les juristes Francis Donnat et Winston Maxwell

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